La réforme de l’État face aux impatiences des citoyens et à des enjeux d’ampleur exceptionnelle
La réforme de l’Etat face aux impatiences des citoyens et à des enjeux d’ampleur exceptionnelle
Où en est la stratégie numérique publique ?
Où en est la stratégie numérique publique ?
Le recours des administrations aux apports d’expertises externes : une pratique contestée, éclairer le débat
L’utilisation par les organisations publiques d’expertises externes n’est pas une nouveauté. Elle est largement ancrée depuis plusieurs dizaines années dans les pratiques managériales. Pourtant, des interrogations et des craintes quant à un usage massif et incontrôlé de ces expertises par l’Etat ont récemment été soulevées notamment par des parlementaires à l’occasion de la gestion de la crise COVID et ont fait l’objet de débats.
Quelles sont les raisons qui sous-tendent ces contestations et font que l’externalisation et le recours à l’apport externe dans le secteur public semblent considérés par certains, plus encore que par le passé, comme un signe de faiblesse, alors qu’ils sont davantage acceptés et banalisés dans d’autres pays européens et font partie intégrante des modes opératoires des grands groupes privés ?
Sont-elles fondées ? Comment favoriser l’acceptabilité par les organisations publiques de telles prestations lorsqu’elles sont utiles et adaptées aux besoins et assumer qu’il ne soit pas envisageable d’être nécessairement « expert sur tout » ? Existe-t-il des bonnes pratiques dans le recours à l’expertise externe et des conditions de succès pour qu’une véritable fertilisation croisée entre apports externe et interne puisse se développer et que les organisations concernées en tirent le meilleur parti et sans donner matière à contestation ?
Le recours des administrations aux apports d’expertises externes : une pratique contestée, éclairer le débat
Télétravail et services publics : Quatre défis à relever d’urgence – Saisir les opportunités de transformation
Dès 1992 la DATAR imaginait le développement du télétravail, pratique porteuse en théorie aussi bien de progrès social que d’aménagement du territoire. On connaît cependant sa très faible mise en œuvre jusqu’en mars 2020, aussi bien dans les entreprises qu’au sein de l’État et des collectivités territoriales.
La crise sanitaire a servi de formidable accélérateur à ce mode de fonctionnement pour les services publics, avec des réussites remarquables, mais aussi des difficultés de premier ordre, aussi bien vis-à-vis des publics que des fonctionnaires, ceux qui étaient concernés par le télétravail comme ceux qui en étaient exclus.
Cette crise a ainsi mis en lumière l’urgence d’une réflexion profonde sur le modèle organisationnel et managérial des services publics de demain.
Le Cercle de la Réforme de l’Etat, sur la base d’un séminaire interne, en esquisse ici les axes principaux.
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