France Travail, animateur et coordinateur du réseau pour l’emploi : quel rôle pour l’Etat sur le marché de l’emploi ? Quelle cohérence des acteurs ?

France Travail, animateur et coordinateur du réseau pour l’emploi : quel rôle pour l’Etat sur le marché de l’emploi ? Quelle cohérence des acteurs ?

 

Une rencontre avec Thibaut Guilluy, Directeur général de France Travail
 

Une réflexion indispensable à un moment où entre en vigueur la loi pour le plein emploi et la réforme du RSA mais où, dans le même temps, surviennent un renversement du marché du travail, des évolutions majeures des circonstances économiques et des évolutions technologiques qui bouleversent de nombreux métiers, le tout dans un contexte de recherche d’économies budgétaires.

Les questions des discutants  porteront sur les thèmes suivants :
– France Travail, préfets, DREETS et DDETS, missions locales pour l’emploi, régions, communes, CCI : dispersion ou coordination des différents acteurs publics ou para-publics

– Cités de l’emploi et politique de l’emploi dans les quartiers prioritaires, territoires zéro chômeurs

– les outils : gestion des données, interopérabilité des SI , IA générative

– recherche d’agilité, personnalisation, lutte contre les discriminations, gestion du temps : comment fait-on ?

– le management chez un des plus grands opérateurs de l’Etat avec 54 000 agents

Présidence et introduction :

Christian Babusiaux, président du Cercle de la Réforme de l’État

Discutants :

Nadège Baptista, préfète déléguée pour l’égalité des chances à la préfecture des Hauts-de-Seine, ancienne préfète déléguée pour l’égalité́ des chances, Seine-et-Marne, ancienne DGS de Saint-Etienne métropole et de Châteauroux métropole 

Jeanne Beury-Josselin, déléguée générale du MEDEF pour le Val d’Oise

 Laurence Hauck, directrice générale adjointe Solidarités au Conseil départemental des Hauts-de-Seine

Frédéric Petitbon, membre du CA du Cercle, expert en conduite du changement et auteur d’ouvrages de management, ancien associé PwC Consulting

Olivier Redoulès, directeur des études de REXECODE, ancien rapporteur général adjoint du Haut conseil des finances publiques

Didier Thomas, directeur territorial de France Travail pour les Hauts de Seine

Patrick Valentin, président de Plein emploi solidaire, Territoires zéro chômeur de longue durée

Laurent Willeman, directeur départemental de l’emploi, du travail et des solidarités du Rhône

Réforme de la haute fonction publique : quel bilan, quels enjeux prioritaires ?

Réforme de la haute fonction publique : quel bilan, quels enjeux prioritaires ?

 

Une rencontre avec Isabelle BRAUN-LEMAIRE, Déléguée  interministérielle à l’encadrement supérieur de l’État (DIESE)
 
 
 
 
Un contexte d’enjeux inédits, de brusques ruptures, d’attentes fortes vis-à-vis de l’État et de toutes les entités publiques. Donc notamment vis-à-vis des cadres dirigeants et supérieurs.
 
Une nouvelle étape dans l’engagement de la réflexion du Cercle sur la réforme de la haute fonction publique et l’occasion d’évoquer :
 
 
 
 
 
🟠Les exigences actuelles d’un management ouvert, réactif. Pour un État résilient.
🟠Les attentes fortes des cadres supérieurs et dirigeants eux-mêmes, dans un cadre statutaire nouveau pour certains, inchangé pour d’autres
🟠Les problématiques spécifiques des ingénieurs, le parcours des directeurs d’hôpital, des responsables des services déconcentrés de l’État, des passerelles territoriale/hospitalière/État, les enjeux particuliers des fonctions préfectorales
🟠Le rôle de la DIESE, ses priorités, ses points d’actualité, ses initiatives.
 
 
Présidence et introduction :

Christian Babusiaux, président du Cercle de la Réforme de l’État

Discutants :

Agnès Audier, membre du conseil d’administration du Cercle, administratrice de sociétés (Crédit agricole, Eutelsat, Worls Line), senior advisor du Boston consulting group, ambassadrice France 2030, présidente de SOS seniors et d’Impact tank, membre titulaire du Conseil général de l’armement,

Nadège Baptista, préfète déléguée pour l’égalité des chances à la préfecture des Hauts-de-Seine, ancienne préfète déléguée pour l’égalité́ des chances, Seine-et-Marne, ancienne DGS de Saint-Etienne métropole et de Châteauroux métropole

Nicolas Desforges, préfet honoraire, ancien membre du Conseil supérieur de l’appui territorial et de l’évaluation au ministère de l’Intérieur, ancien  directeur du pôle territorial du Secrétariat général pour l’investissement, en charge du programme d’investissements d’avenir, ancien délégué interministériel aux grands évènements sportifs

Yannick Girault, directeur de l’école nationale des finances publiques (ENFIP), ancien directeur du service à compétence nationale Cap numérique

Naaïma Méjani, sous-préfète de Nogent-le Rotrou, administratrice territoriale

Frédéric Petitbon, membre du CA du Cercle, expert en conduite du changement et auteur d’ouvrages de management, ancien associé PwC Consulting

Isabelle Roux-Trescase, directrice départementale des finances publiques de Seine et Marne, ancienne Directrice du projet nouveau réseau de proximité de la DGFIP

Laurent Willeman, directeur départemental de l’emploi, du travail et des solidarités du Rhône

L’organisation et les méthodes de l’action publique à l’épreuve des réalités actuelles et des menaces sur la sécurité : quelles réformes ?

L’organisation et les méthodes de l’action publique à l’épreuve des réalités actuelles et des menaces sur la sécurité : quelles réformes ?

Une rencontre avec Laurent NUNEZ, préfet de police de Paris et ancien Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur.
 
 
 

Laurent Nuñez avait précédemment été coordonnateur du renseignement et de la lutte contre le terrorisme, directeur général de la sécurité intérieure, préfet de police de Marseille.
Une expérience exceptionnelle à la charnière de l’opérationnel et du politique, du local, du national et de l’international, du renseignement et de la sécurité au quotidien.

Nous avions reçu son prédécesseur, Didier Lallement,  en 2021,  et le Cercle a publié en juin 2022 une note : «La sécurité du quotidien : renforcer l’efficacité, regagner la confiance » et en novembre 2022 un article « Sécurité du quotidien : miser aussi sur les acteurs locaux ».

Avec Laurent Nunez, il s’agissait donc d’actualiser ces premières analyses mais aussi d’élargir la réflexion aux autres domaines et aux problématiques nouvelles de la sécurité. Parmi les thèmes abordés :

L’organisation de la sécurité à Paris et dans l’agglomération
Une nouvelle étape pour les polices municipales ?
Le potentiel des nouvelles technologies/le respect de l’Etat de droit/la relation avec les citoyens
L’action dans un univers ultramédiatisé
Recrutement/formation/attractivité dans la police
Du management global d’une organisation de 50000 personnes au management de proximité.

Présidence et introduction :

Christian Babusiaux, président du Cercle de la Réforme de l’État

Discutants :

Alexandre Duval-Stalla, avocat au barreau de Paris, professeur de constitutional law à Sciences Po, membre du CA de la Fondation Clémenceau et de la Fondation Charles de Gaulle

Jean-Louis Héno, DGS de la ville de Pantin et précédemment de la ville de Sarcelles, membre du club Marc Bloch

Edward Jossa, PDG de l’UGAP, membre du CA de l’ACPHFMI, précédemment directeur général des collectivités locales au ministère de l’Intérieur

Pierre Lambert , préfet(h), vice-président de l’ACPHFMI, ancien préfet de la Haute-Savoie, des Côtes d’Armor et des Deux-Sèvres

Emmanuelle Lehéricy, directrice adjointe de l’Académie de police

Bernadette Malgorn, vice-présidente de l’association des membres du corps préfectoral et des hauts fonctionnaires du ministère de l’intérieur et membre du CA de SeRViR, élue municipale et territoriale, ancienne secrétaire générale du ministère de l’Intérieur et ancienne préfète de région et de département

Jacques Reiller,  conseiller d’Etat et préfet (h), ancien préfet de région et de département, ancien directeur de cabinets ministériels et directeur-adjoint du conseil stratégique du ministère de la défense

L’organisation des JO 2024 : un cas exceptionnel ou une inspiration pour des réformes de l’État ?

L’organisation des JO 2024 : un cas exceptionnel ou une inspiration pour des réformes de l’État ?

Une rencontre avec Amélie OUDEA-CASTERA, ministre des sports et des jeux olympiques et paralympiques de 2022 à 2024.
 
 
 

Amélie Oudéa-Castéra a cumulé les expériences dans le privé (dans les états majors du groupe AXA puis de Carrefour), associatif (présidente de «rénovons le sport français ») et avait été rapporteure des premiers rapports de la Cour des comptes sur la situation et les perspectives des finances publiques.

Les JO sont parfois qualifiés de « parenthèse enchantée » : une belle expression mais ne traduit-elle pas une sorte de résignation ?
Or, pour aujourd’hui comme pour les prochaines années, s’impose une double nécessité : lancer, porter, réussir de grands projets ; fédérer, notamment à ces occasions, une société fragmentée.
Ce qui a été réussi pour les Jeux est-il reproductible pour d’autres événements sportifs et dans d’autres domaines, la transition écologique ou la culture par exemple ?

Le débat a fait ressortir que l’ambition, l’imagination, l’exigence, la rigueur dans l’exécution sont bien sûr essentielles. Mais aussi la gouvernance, l’articulation politique/administration, les processus pour assurer l’écoute, la construction de l’adhésion des parties prenantes, l’organisation pour dépasser la complexité, assurer la mobilisation.  Les dérogations aux normes ou la conception d’un cadre global spécifique pour les grands projets sont-elles indispensables ? Ont également été évoquées  la transversalité éducation/jeunesse/culture/sport, les structures territoriales en matière d’éducation et de sport.

Une mine de réflexions qui inspireront de nouvelles publications du Cercle après la note de mai 2023 «Réussir les projets complexes : un enjeu majeur d’efficacité de l’action publique et de cohésion sociale», dont la préparation avait été portée par Jean-Marc Ambrosini.

 

 

Présidence et introduction :

Christian Babusiaux, président du Cercle de la Réforme de l’État

Discutants : 

Jean-Marc Ambrosini, animateur de la préparation de la note du Cercle «Réussir les projets complexes », président de HYPHÉNIA, ancien DG audit et risque du groupe SNCF

Bruno Benazech, inspecteur d’académie, DASEN de Haute-Corse

Paul Flad, directeur de l’Institut national des jeunes sourds

Pascale Flamant, IGAS, co-rapporteure du rapport Woerth « Décentralisation : le temps de la confiance »

Francis Malcor, conseiller maître à la Cour des comptes, rapporteur général pour le rapport au Parlement sur les JO

Juliette Méadel, ancienne secrétaire d’Etat chargée des victimes 

Jacques Rapoport, inspecteur général des finances (h), ancien président et DG d’entreprises publiques du secteur des transports

Laurence Tison-Vuillaume, cheffe du service de l’inspection générale des affaires culturelles, ancienne directrice du cabinet du ministre de la culture

Comptes publics, décentralisation :  quelles réformes de l’État pour retrouver des chemins de confiance ?

Comptes publics, décentralisation : quelles réformes de l’État pour retrouver des chemins de confiance ?

Une rencontre avec Eric WOERTH, ancien ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l’État, ancien ministre du travail, de la solidarité et de la Fonction publique, ancien président de la commission des finances de l’Assemblée nationale,  et ancien secrétaire d’État à la réforme de l’État.

L’intervention d’Eric Woerth se situait d’abord dans la suite du rapport qu’il a remis il y a quatre mois au Président de la République « Décentralisation : le temps de la confiance ». Il s’agissait d’aller plus loin dans des points-clés du rapport.

Elle se plaçait aussi dans le contexte actuel de dépassements successifs des objectifs de déficit et de dette publics que l’on peut aussi formuler en termes de confiance : ils suscitent en effet des doutes des autorités communautaires et des investisseurs internationaux mais aussi des citoyens sur la transparence et la capacité de pilotage des comptes publics. Comment assurer la fiabilité et la transparence de la gouvernance des finances publiques ? L’intervention liminaire d’Eric Woerth a ainsi traité de ces deux sujets majeurs de l’action publique, sous l’angle aujourd’hui particulièrement difficile et apparemment paradoxal mais pourtant majeur de la confiance.

Présidence et introduction :

Christian Babusiaux, président du Cercle de la Réforme de l’État

Discutants : 

Jean-Bernard Auby, professeur émérite de droit public, ancien directeur de la chaire mutations de l’action publique et du droit public à Sciences Po, président d’honneur de l’Association française de droit des collectivités locales, ancien doyen de la faculté de droit de l’université Paris XII

André Barbé, président de la formation inter-juridictions Cour des comptes-CRC sur la fonction publique, conseiller maître à la Cour des comptes

Guihem Blondy, secrétaire général du conseil des prélèvements obligatoires, conseiller maître à la Cour des comptes, ancien secrétaire général adjoint pour la présidence française de l’Union européenne

François Ecalle, président de FIPECO, ancien membre du HCFP, ancien rapporteur général du rapport annuel de la Cour des comptes sur la situation et les perspectives des finances publiques, conseiller maître (h) à la Cour des comptes  

Jean-Louis Héno, DGS de la ville de Pantin et précédemment de la ville de Sarcelles, membre du club Marc Bloch

Laurence Lemouzy, directrice de l’Institut de la gouvernance territoriale et de la décentralisation, rédactrice en chef de « Pouvoirs locaux »