L’INSP à l’intercroisement des motivations des candidats d’un côté, des besoins des administrations et services publics de l’autre : quelle formation, quelle pédagogie ?

L’INSP à l’intercroisement des motivations des candidats d’un côté, des besoins des administrations et services publics de l’autre : quelle formation, quelle pédagogie ?

 

Une rencontre avec Maryvonne LE BRIGNONEN, directrice de l’INSP

Une occasion de traiter des nombreuses questions que suscite le nouvel INSP, remplaçant de l’ENA, sur les attentes des employeurs, la transformation des formations appelée par le contexte de crises successives et des transitions à mener, la place de l’INSP dans l’ensemble des écoles de service public et par rapport aux trois fonctions publiques, la valeur diplômante des formations, la formation continue, les relations avec l’Université et la recherche, l’évaluation des formations de l’INSP.

 

 

Présidence et introduction :

Christian Babusiaux, président du Cercle de la Réforme de l’État

Discutants :

Isabelle Saurat, ancienne Secrétaire générale pour l’administration du ministère de La Défense,

Henri Bergeron, directeur de recherches au CNRS, centre de sociologie des organisations, professeur à Sciences Po,  membre du CORH du ministère de la Transformation et de la Fonction publiques,

Gilles Duthil, directeur de projet transformation des agences sanitaires, Secrétaire général de l’AAENA, animateur du GT alumni de la Conférence des grandes écoles,

Stéphanie Dameron, professeure des universités, ancienne rectrice, ancienne directrice adjointe du cabinet du ministre de l’Éducation nationale,

Yannick Girault, directeur de l’École nationale des finances publiques,

Stéphane Le Bouler, Secrétaire général du Haut conseil pour l’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur,

André Barbé, président de la formation inter juridictions (Cour des comptes-CRC) sur la fonction publique.

 

 

 

 

 
 
 
 
 
 
 
L’INSP à l’intercroisement des motivations des candidats d’un côté, des besoins des administrations et services publics de l’autre : quelle formation, quelle pédagogie ?

Politiques publiques, démocratie participative, décideurs publics -dynamiques et équilibres

 

Une rencontre avec Chantal JOUANNO, présidente de la Commission nationale du débat public (CNDP)

 

La Commission nationale du débat public, créée en 1995,  a maintenant plus de 25 ans. Devenue Autorité administrative indépendante en 2002, elle fait maintenant partie du paysage institutionnel.

Dans une société de plus en plus chahutée et fragmentée, quel bilan faire de son fonctionnement ? Comment contribue-t-elle à “approfondir la démocratie”, comme le dit sa présidente ? Comment tente-t-elle d’impliquer davantage les citoyens et de garantir leurs droits ? Faut-il élargir son champ de compétences au-delà des questions d’environnement ? Telles sont certaines des questions qui seront abordées lors de cette rencontre.

Présidence et introduction :

Christian Babusiaux, président du Cercle de la Réforme de l’Etat

Discutants :

Cécile Blatrix, professeure de science politique, animatrice des réflexions du Cercle sur la transition écologique
Bernadette Malgorn, ancienne préfète de région, conseillère municipale et métropolitaine de Brest

Véronique Molières, directrice de C2ds -comité pour le développement durable en santé.

Cécile Avezard, directrice régionale de Voies navigables de France, ancienne présidente de Medlinkports.

Axel Dauchez, président de make.org, première plate-forme mondiale de consultations citoyennes

Agnès Popelin, administratrice de France Nature Environnement, membre du CESE et vice-présidente de la Commission nationale des alertes en santé publique et environnement

Michel Badré, président de la commission particulière chargée d’organiser le débat public sur le projet de construction de deux EPR, ancien président de l’Autorité environnementale et vice-président du CESE, interviendra également comme grand témoin.

 

 

 
 
 
 
 
 
 
L’INSP à l’intercroisement des motivations des candidats d’un côté, des besoins des administrations et services publics de l’autre : quelle formation, quelle pédagogie ?

Une multiplicité de réformes mais un sentiment d’insatisfaction persistante des usagers : quel embrayage des politiques de transformation publique sur la réalité vécue par les citoyens et les agents ?

 

Une rencontre avec Stanislas Guérini, Ministre de la Transformation et de la Fonction publiques.

Une multiplicité de réformes mais un sentiment d’insatisfaction persistante des usagers : quel embrayage des politiques de transformation publique sur la réalité vécue par les citoyens et les agents ?
 
 
 
 
 
 
 
Les interventions des discutants permettront d’aborder aussi des thèmes comme le bilan de la loi de transformation de la fonction publique d’août 2019, l’impact de la réforme de la « haute fonction publique », la réforme des services déconcentrés de l’État, le rôle du Parlement dans la transformation publique, l’État et les consultants.
 
 
 
 

 

Présidence et introduction : Christian Babusiaux, président du Cercle de la Réforme de l’Etat

Discutants :

Henri Bergeron, directeur de recherches au CNRS, Centre de sociologie des organisations Sciences Po

Florian Bosser, conseiller référendaire à la Cour des comptes, ancien conseiller de Jean Castex au cabinet du Premier ministre

Corinne Desforges, inspectrice générale de l’administration

Elisabeth Hachmanian, consultante spécialisée en transformation publique, ancienne associée, responsable de l’activité consulting santé publique et privée PwC France

Jean-François Verdier, inspecteur général des finances, ancien directeur général de l’administration et de la fonction publique

 

 
 
 
 
 
 
 
L’INSP à l’intercroisement des motivations des candidats d’un côté, des besoins des administrations et services publics de l’autre : quelle formation, quelle pédagogie ?

La réforme de la responsabilité financière des décideurs publics : objectifs, conséquences, portée. L’ordonnance du 23 mars 2022, aboutissement ou point de départ ?

 

Une rencontre avec Catherine HIRSCH, Procureure générale près la Cour des comptes et la Cour de discipline budgétaire et financière

 Au moment où l’ordonnance du 23 mars 2022 vient de modifier profondément la responsabilité financière des décideurs, gestionnaires et comptables publics, et où se préparent les textes d’application, des interrogations se font jour sur la portée et les conséquences de cette réforme :
 
– pour les responsables de services de l’Etat, des collectivités locales et des hôpitaux, quelle portée de cette réaffirmation d’une responsabilité financière, à côté de la responsabilité managériale et de la responsabilité pénale ? La définition des infractions et notamment de la faute de gestion est-elle assez précise ?
 
– quelles conséquences sur le management public ? les exemptions dont bénéficient les maires et de manière plus générale les élus locaux, ainsi que les ministres, risquent-elles ou non d’induire des biais dans la prise des décisions ?
 
– le système de la responsabilité personnelle et pécuniaire du comptable était quasi-unanimement considéré comme périmé quelles seront les conséquences de sa suppression sur les responsables des administrations et sur les élus ? Quelles conditions pour la réussite ?
 
– quel impact sur le rôle des Chambres régionales des comptes, qui n’auront plus de pouvoir juridictionnel, et comment exerceront-elles leur fonction nouvelle d’évaluation des politiques publiques locales ?
– quelle impulsion de l’action publique, quelle politique de poursuites pour le Parquet général et les procureurs financiers ?

 

Discutants :

Emmanuel Millard, président de DFCG, association des directeurs financiers et contrôleurs de gestion

Jacques Rapoport, président du groupe Services publics et administrateur de DFCG, ancien directeur général de la Poste, ancien président de RFF puis de SNCF réseau, ancien directeur général-adjoint de la RATP, ancien secrétaire général des ministères sociaux

Denis Mondon, avocat général (H) à la Cour de Cassation), ancien procureur de la République, ancien membre du cabinet du Garde des Sceaux, ministre de la Justice

Alain Kurkdjian, ancien Secrétaire général de l’ONIAM, ancien directeur départemental-adjoint de la cohésion sociale en Seine-Saint Denis et vice-président de l’association de DDCS, DDPP et DDCSPP

Isabelle Duchefdelaville, présidente de la Société française pour l’évaluation des politiques publiques (SFE)

 

 
 
 
 
 
 
 
L’INSP à l’intercroisement des motivations des candidats d’un côté, des besoins des administrations et services publics de l’autre : quelle formation, quelle pédagogie ?

Au-delà des États généraux de la Justice, quel « pouvoir » judiciaire, quel service public de la Justice, quel rôle du juge ?

 
 

 

Une rencontre avec Chantal ARENS, Première présidente de la Cour de cassation.

La situation de la Justice et les évolutions à mener, avec en arrière-plan pour le Cercle :
– l’efficacité de la Justice au cœur de l’efficacité des politiques publiques
– le rapport entre l’initiative et la prise de risque des décideurs et gestionnaires publics et le risque de mise en cause de leur responsabilité.

 
Avec pour discutants :

Gwenola JOLY-COZ, Première présidente de la Cour d’appel de Poitiers, ancienne présidente des Tribunaux judiciaires de Mamoudzou, Thonon les Bains et Pontoise, ancienne directrice de cabinet de la ministre des droits des femmes, fondatrice de « Femmes de justice »

Denis Mondon, avocat général (HH) à la Cour de Cassation), ancien procureur de la République, ancien membre du cabinet du Garde des Sceaux, ministre de la Justice

Jacques Rapoport, membre du conseil d’administration du Cercle, inspecteur général des finances honoraire, président du groupe Services publics et administrateur de DFCG, ancien directeur général de la Poste, ancien président de RFF puis de SNCF réseau, ancien directeur général-adjoint de la RATP, ancien secrétaire général des ministères sociaux

Denis Salas, président de l’Association française pour l‘histoire de la Justice, directeur scientifique de la revue « Les Cahiers de la Justice ».